Résumé des recherches du mois de Juin 2007

30-06-2007

Roberta Friedman, PH.D., Research Department Information Coordinator.

 

Protéines TDP-43 rôle possible dans SLA

Le scientifique SLA canadien Michael Strong, M.D., du Robarts Research Institute à l’Université de Western Ontario à Londres, a publié preuve que la protéine TDP-43, nouvellement impliquée dans la SLA et une type de changement cognitive , interagissent avec la structure soutienne dans le fibre longue des neurones moteurs, aussi appelée neurofilaments. TDP-43 stabilise le messager RNA qui code pour la production des neurofilaments de poids moléculaire basse. Strong suggère que l’interaction pourrait pousser à la formation de dépôts anormales de protéines dans la cellule nerveuse. Si confirmé, ceci signifierait que TDP-43 pourrait affecter les processus par lesquels les cellules nerveuses entretiennent leurs débit de provisions. Le rapport se trouve dans Molecular and Cellular Neuroscience.

 

DLFT Pathologie Détaillé

Critères sur comment classifier les maladies cervelles appelées dégénérescence lobaire fronto-temporale  (DLFT) sont publiés dans Acta Neuropathologica. Les résultats moléculaires et cellulaires sur l’autopsie aideront les scientifiques à comprendre les processus divers ou courants derrière les changements comportementaux et cognitifs dans les maladies, ce qui peut émerger dans les différents degrés de la SLA.

L’équipe internationale de scientifiques qui coopèrent sur ces critères proposés pour diagnostiquer DLFT, ont travaillé avec Nigel J. Cairns, Ph.D., à l’Université de Washington à St. Louis, Mo.

 

TDP-43 comme signe moléculaire distincte de maladie neurone moteur

La présence de TDP-43 peut être considérée comme un marqueur spécifique de la SLA, concluent des scientifiques du Mayo Clinic, Rochester, Minn., qui travaillent avec Keith Josephs, M.D., comme rapporté dans Acta Neuropathologica. La présence de TDP-43 dans des dépôts cerveaux anormales, suggèrent que la maladie neurone moteur est présente, bien que les symptômes ce montrent ou non, concluent les scientifiques.

La conclusion que la présence de TDP-43 est un thème unificateur dans la dégénérescence lobaire fronto-temporale, était endossé par une collaboration indépendante conduit par Ian Mackenzie, M.D., Vancouver General Hospital, Canada, publié dans American Journal of Pathology.

A la conférence ce mois à Canada sur DLFT, des pathologistes présents à la réunion ont débâté sur la présence de TDP-43 dans des dépôts anormales comme une base pour des diagnoses de la SLA avec changement cognitive. Veuillez regarder pour un rapport sur la réunion qui sera publié bientôt sur : www.alsa.org.

 

Gènes différents actifs dans DLFT différent : Microarray Data

Eileen Bigio, M.D., Northwestern University, Chicago, et ses collègues ont publié dans Acta Neuropathologica une analyse microarray de gènes différentielles actives dans DLFT avec et sans participation neurone moteur. Avec des échantillons d’autopsie de cerveau humain, ils ont trouvé que DLFT et contrôles diffèrent dans plus de 100 routes moléculaires. Des changements ont paru dans des protéines qui gères les connections parmi les cellules nerveuses et le système d’élimination de débris cellulaires, appelé le proteasome, aussi bien que le transport dans des cellules et la route de mort cellulaire, appelée apoptose. Les scientifiques ont validé trois gènes jusqu’à présent comme ayant des niveaux d’expression différents, y compris un component du moteur moléculaire, dynein, et une protéine emballage, appelée annexin A2 qui aide à déplacer des matériaux dans des cellules. Progranulin et TDP-43 ont aussi montré des changements dans leur expression génétique dans quelques des cas.

 

Reprogrammation Nucléaire : progrès vers découverte médicament

Recherche rapporté dans Nature par le scientifique de Harvard Kevin Eggan, Ph.D., et ses collègues suggère que ça pourrait être possible d’utiliser des cellules primitives fertilisées auparavant pour produire des lignes de cellules souches maladie-spécifique en utilisant le transfert nucléaire de cellules somatiques. Des efforts précédents dans la reprogrammation nucléaire ont relié sur des œufs qui sont difficiles à obtenir. Au lieu de ça, ça pourrait être possible d’utiliser des cellules qui restent de la fertilisation in-vitro pour générer des cellules souches qui portent les gènes responsables pour des maladies comme la SLA. Les scientifiques ont réussi à utiliser des œufs fertilisés qui seraient normalement écartés parce qu’ils portent trop de chromosomes pour développer normalement.

Un autre essai dans Nature, par une groupe qui travaille avec Rudolf Jaenisch, Ph.D., au Whitehead Institute, suggère une route alternative supplémentaire vers la reprogrammation nucléaire. Les cellules appelées fibroblastes qui donnent soulèvement au tissu connectif comme cartilage, peuvent être données des gènes qui les permettent de revenir à un état plus primitif, assez pareil, ou même identique aux cellules souches. Si ces fibroblastes traités génétiquement, pourraient être produit des cellules de peau des patients adultes, ils pourraient accorder des cellules souches qui reflètent les génétiques de l’état de la maladie dans la SLA.

Des scientifiques à l’Université de Kyoto, progressent aussi sur la reprogrammation nucléaire. Ils ont arrangé un retour vers pluripotence – l’aptitude de former aucun type de cellule, la marque de qualité d’une cellule souche – en générant des gènes qui produisent 4 protéines clefs : Oct4, Sox2, c-Myc et Klf4. Ils ont utilisé un virus infirme pour injecter ces 4 gènes. Un rapport précédent rapporté par cette groupe, conduit par Shinya Yamanaka, M.D., Ph.D., n’avait pas montré assez d’un déplacement vers des caractéristiques des cellules souches. Maintenant ils font cela, et ils appellent leurs cellules, cellules souches induit pluripotent, ou cellules iPS. Leurs résultats étaient aussi publié dans Nature.

 

Espionnage sur cellules souches

Des scientifiques de Stanford qui travaillent avec Gary Steinberg, M.D., Ph.D., ont rapporté dans le Proceedings of the National Academy of Sciences que des cellules souches humaines marquées avec des particules nano magnétiques peuvent être suivi par imaging. Les cellules apparaissent sans affectation par le marquage et s’intègrent comme attendu, quand transplanté dans des cerveaux rongeur nouveaux ou blessés. Ce marquage pourrait permettre aux scientifiques de mieux comprendre comment utiliser les cellules souches comme thérapie.

 

Progression SLA traine dans étapes précoces avec Exercice

Une étude dans Neurology suggère que les étapes précoces de la SLA pourraient être prolongé par exercice médiocre. Des patients qui ont pratiqué des exercices de renforcement en utilisant des poids trois fois par semaine paraissent maintenir la fonction et réprimer la qualité de vie. Huit des 13 personnes assignées à l’entrainement de poids ont complété l’étude de 6 mois, comme aussi dix des 14 qui faisaient seulement des exercices d’étirement. La fonction a réduit 12 pourcent plus lentement dans la groupe d’entrainement de poids, et la qualité de vie a réduit 16 pourcent plus lentement, suite aux scientifiques qui travaillent avec Vanina Dal Bello-Haas, Ph.D., à l’Université de Saskatchewan, à Saskatoon, Canada, et Hiroshi Mitsumoto, M.D., à l’Université de Columbia à New York City. Les résultats doivent être subdivisé dans une groupe plus grande pour faire une déclaration définitive sur la valeur d’exercice dans la SLA.

 

Joueurs de football et SLA

Trois amis britanniques qui jouaient du football compétitif amateur, ont développé la SLA presque au même temps, suite à un rapport des scientifiques qui travaillent avec Ammar Al-Chalabi, Ph.D., au King’s College, London, U.K. Les scientifiques ont publié les résultats dans Amyotrophic Lateral Sclerosis, qui suggèrent que l’exercice intense pourrait être concerné dans la maladie.

 

Défaut dans remise DNA associe avec risque SLA pour hommes

Des scientifiques italiens conduit par Gabriele Siciliano, M.D., à l’Université de Pisa ont publié dans Neuroscience Letters sur un lien possible pour un risque augmenté de la SLA dans des hommes avec un varient d’un gène concerné dans la réparation de dommage au DNA.

 

Lien entre Ataxie et SLA

Des scientifiques japonais qui travaillent avec Koji Abe, M.D., Ph.D., à l’Université de Okayama ont rapporté dans Internal Medicine (Tokyo) sur deux gens qui avaient un désordre moteur appelé ataxie, et qui avaient aussi des signes de maladie neurone moteur. Beaucoup d’ataxies existent, quelques-uns avec des défauts génétiques connus. Parfois il y a des aspects qui ressemblent la maladie neurone moteur de la SLA dans des gens avec ataxie (le terme ataxie se rapporte à la marche anormale, un désordre qui est normalement du aux problèmes dans des régions cervelles appelées le cervelet.) Des mécanismes ordinaires de maladie pourraient aboutir à un traitement effectif des deux conditions.

 

Défenses contre dommage oxydatif affecté dans modelage de souris en SLA

Abe et ses collègues à l’Université de Okayama ont rapporté dans Brain Research sur des enzymes spécifiques dans des mitochondries qui défendent contre le dommage oxydatif, trouvant une diminution dans des souris avec la SOD1 mutante.

Jeff Johnson et ses collègues au Waisman Center, Université de Wisconsin, Madison, ont publié online dans Experimental Neurology sur le rôle du système de défense cellulaire dans la SLA. Ecourté ARE, ce système d’élément de réponse anti-oxydante, quand activée, pousse des cellules à former une série de matériaux qui défendent contre le stress oxydatif. Tels stressors incluent des sous-produits potentiellement toxiques de métabolismes normaux, et puis des menaces externes comme la radiation et des produits chimiques. Dans des souris qui produisent la dismutase superoxyde cuivre-zinc (SOD1), ARE est activé tôt dans la maladie, par 30 jours d’âge, dans la muscle. Cette activation continue alors jusqu’aux fibres nerveuses. Ces résultats agrandissent la controverse sur le rôle des muscles dans la SLA.

 

Transport défectueux dans fibres nerveuses répond dans souris SOD1

Une entreprise qui s’appelle KineMed Inc, en Emeryville, Calif., a publié des résultats sur un corps composé qui travaille dans des souris pour réparer des défauts dans le transport dans des fibres nerveuses qui sont affecté tôt dans le modèle souris de SLA. Comme rapporté dans le Journal of Biochemistry, le corps composé a prolongé le temps de survie par un quartier et a ajourné le commencement, avec un retour vers normal des dynamiques de transport concernant les protéines appelées microtubules qui maintiennent le trafic selon les fibres nerveuses. Les scientifiques conduit par Marc Hellerstein, M.D., Ph.D., proposent les dynamiques microtubules comme un bio marqueur de la maladie et un objectif pour des thérapies.

 

Barrière cervelle rompu dans SLA ?

Svitlana Garbuzova-Davis, Ph.D., et ses collègues à l’Université de South Florida, Tampa, ont rapporté dans Brain Research que la barrière entre le cerveau et la moelle épinière et le reste du corps, qui aide à régler la fonction du cerveau et le protège d’interruption peut être interrompu dans la SLA. Cette brèche était évident dans des souris mutantes SOD1 dans des régions de dégénération neurone moteur dans des phases tôt et tard de la maladie. Hernie capillaire était observée dans la souche cervelle dans des souris avec symptômes précoces. Recherche sur la structure des vaisseaux capillaires montre du dommage au membrane cellulaire endothéliale et/ou la membrane sous-sol suivi par la fuite vasculaire.

 

Route de sauvage de cellule et SLA

Des scientifiques à Harvard et MIT conduit par Li-Huei Tsai, Ph.D., publié dans le EMBO Journal qu’une route métabolique occupant la famille sirtuin de deacetylases histone peut être occupé dans le vieillissement et dans le processus de maladie dans la SLA et d’autres maladie de vieillissement. Une molécule écourté comme SIRT1 est produit dans des quantités augmentées dans des modèles souris pour Alzheimer, SLA et dans des neurones qui croissent dans le laboratoire qui sont attaquées par des assauts toxiques. Cette route est en train d’être examinée pour la découverte de thérapies pour la SLA.

 

Marqueur Rétrovirus détecté dans patients SLA

Un rapport dans Neurology est le troisième qui montre que transcriptase inverse se produit plus souvent dans des patients SLA que dans des contrôles. La présence de cette protéine rétrovirus dans une étude de Steve Scelsa, M.D., et ses collègues au Beth Israel, New York City, confirme des rapports précédents, mais ne prouve pas qu’un rétrovirus est responsable pour la maladie. Quelques gens sans la SLA ont aussi le marqueur. Un essai de indinavir, un médicament antirétrovirale, a failli d’aider des patients avec la SLA.

 

Mutation VAPB pas lié avec SLA dans le Royaume Unie

Des scientifiques qui travaillent avec Pamela Shaw, M.D., Université de Sheffield, ont rapporté dans Neurology que la mutation VAPB n’est pas trouvé dans des patients pour qui la SLA est la première dans leurs familles, au moins dans le Royaume Unie. Cette mutation dans le codage génétique pour la protéine (l’abréviation représente la vessie-associé membrane protéine-associée protéine B) était rapporté dans une famille brésilienne avec des cas de la SLA et tracé à un ancêtre commun à partir du moment de contact avec Portugal. Des Italiens semblent aussi manquer cette lien de mutation à la SLA.

 

Rôle de la mutation VAPB Clarifié

Des scientifiques brésiliens qui travaillent avec Mayana Zatz, Ph.D., à l’Université de São Paulo ont étudié le domaine génétique responsable VAPB pour l’analyse de ses interactions avec des autres protéines cellulaires. Les résultats suggèrent que la mutation pourrait aboutir à une interaction moins stable de cette protéine réticulum endoplasmique avec au moins deux autres protéines : tubulin et GAPDH. Ces deux protéines ont auparavant été relié à des autres formes de maladies neurodégénératives et sont des points clefs potentiels pour comprendre la biologie et auquel de viser des thérapies.

 

Souris avec différents mutations SOD1 progressent lentement

Une souris avec la mutation vers SOD1 de H46R progresse très lentement comme aussi des gens avec cette mutation particulière, survivant presque 15 années. Les souris, comme publié par des scientifiques japonais dans Journal of Neuropathology and Experimental Neurology, montrent des agrégats dans des cellules et perte de fibres nerveuses dans la moelle épinière très tôt, et des symptômes apparaissent autours des 20 semaines. La dommage semble affecter des autres cellules à coté des neurones moteurs dans cette souris.

 

Dynamiques des molécules SOD1

Une structure de haute résolution de la SOD1 humaine avec tous ses molécules métalliques, avec les dynamiques moléculaire est analysée par un ordinateur et publie les premières étapes de mal plissage causées par une rature de métal comme rapporté par le scientifique anglais Samar Hasnain, Ph.D., et ses collègues au Daresbury Laboratory dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

 

Cellules souches moelles explorées comme thérapie SLA

Des scientifiques italiens ont publié dans le Journal of the Neurological Sciences un essai exploratoire dans quelques patients SLA d’utiliser leurs propres cellules souches de moelle comme thérapie. Ces cellules souches ne semblent pas différer de ceux collecté des gens sains. Des neufs patients SLA qui ont reçu des injections spinales (niveau poitrine) de leurs propres cellules souches mesenchymal, quatre semblent avoir un déclin décéléré dans la capacité vitale forcée (une mesure de respiration) en dans l’échelle d’estimation SLA, appelé le SLA-FRS. Aucun changement dans le volume de la moelle épinière et dans aucun autre mesure pour détecter des tumeurs possible qui apparaissent pendant les quatre ans de follow-up. Les résultats doivent être exploré dans un essai de patient plus large. C’est possible que les patients pourraient avoir progressé plus lentement comme une caractéristique naturelle de leur maladie. Les contrôles adéquates devront être inclus pour voir si le traitement a en effet de l’effet. Les scientifiques ont travaillé avec Letizia Mazzini, M.D., à l’Université de Novara. Ces cellules souches particulières pourraient attaquer l’inflammation.

 

Thérapie génétique prometteur dans maladie Parkinson

Une étude de sécurité Phase I de 11 hommes et une femme avec la maladie Parkinson dans lesquelles les chirurgiens ont injecté un virus portant des gènes dans le cerveau était inoffensif et a résulté dans une fonction moteur améliorée pour les patients Parkinson pendant la course d’un an. Les résultats, publié dans le The Lancet par Michael Kaplitt, M.D., New York-Presbyterian Hospital/Weill Cornell Medical Center, et collaborateurs, devront être validé dans un essai plus large. Des études sont en route pour déterminer la faisabilité des approches de thérapies génétiques pour SLA pour modifier la progression de la maladie.

Source: www.alsa.org

Traduction: Joke Mulleners

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