La ALSA finance de nouvelles allocations pour la recherche qui vise la découverte de gènes

08-02-2006

La ALSA annonce le nouveau financement de recherches qui visent la découverte de rapports génétiques possibles à la maladie SLA. Les fonds seront attribués aux chercheurs qui sont reconnus comme experts dans leur spécialité.

Des morceaux du puzzle génétique de la SLA doivent encore être ajustés. La ASLA focalise intensivement sur la recherche de nouveaux gènes qui jouent un rôle dans la maladie. La découverte de la mutation SOD1, une modification dans l’encodage génétique de la protéine, a engendré la création de modèles rongeurs de la maladie. Cela a forcé l’allure de la recherche de sorte que la biologie de l’évolution de la maladie commence à devenir plus claire.

D’autres modifications génétiques sont reliées à des perturbations du neurone moteur,qui ressemblent à des différents degrés de la SLA. Ces gènes, qui sont impliqués dans des maladies du neurone moteur, contiennent ceux qui codifient les protéines, qui aident à porter et à transporter des matériaux à l’intérieur de la cellule : les neurofilaments et les molécules motrices dynéine et dynactin. En outre, les chercheurs ont découvert une mutation dans le gène de sénataxin, une protéine qui est impliquée dans le fonctionnement correct de l’acide de Ribonucléine (RNA), qui aide à la transcription des instructions dans les gènes.

Recherche de nouveaux gènes SLA

Entre-temps les chercheurs ont identifié une série de 30 gènes, qui s’expriment de manière sélective dans les neurones moteurs et qui sont reliés au développement et au maintien de ces neurones, qui font contracter les muscles quand nous voulons faire un mouvement. Il est possible que des erreurs dans un de ces gènes engendre la dégénération du neurone moteur, une caractéristique importante de la SLA.

Des chercheurs ont découvert une région du génôme, qui pourrait être mise en rapport avec la DLFT (dégénérescence lobaire fronto-temporale) et avec la SLA et qui se situe au petit bras du chromosome 9. Des familles peuvent présenter ces deux perturbations en formes différentes ou coexistantes. Un des gènes dans cette région du chromosome 9 présente probablement une mutation importante.

Chaque morceau du puzzle génétique, qui fait partie de la SLA, aidera à expliquer l’interaction entre les gènes d’une personne et leur expérience de la vie, qui pourrait causer la perturbation. Comme des chercheurs dévoilent des gènes qui sont impliqués dans les maladies de neurones moteurs, les morceaux du puzzle pourraient s’ajuster. Il s’avère en effet qu’ils pourraient résulter en une voie commune, que pourrait prendre une nouvelle thérapie. Les nouveaux projets, qui sont financés maintenant, aspirent à progresser vers une meilleure connaissance de la raison pour laquelle des neurones dépérissent en SLA et de ce qu’il faut faire pour arrêter et peut-être même réparer les dommages.

Source: www.alsa.org

 

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