Caféine semble être bénéficiaire
29-05-2009
Caféine semble être bénéficiaire dans des homes – mais pas dans des femmes – avec la maladie de Lou Gehrig
Modèle animale souligne l’effet de diète et sexe dans la compréhension de la SLA.
La sclérose latérale amyotrophique est une maladie fatale qui endommage les neurones clés dans le cerveau et la moelle épinière. La maladie cause la paralyse progressive de muscles volontaires et souvent la morte dans les 5 ans dès le départ des symptômes. Bien que la SLA (la maladie de Lou Gehrig) était découverte il y a déjà un siècle, ni la cause, ni un traitement a été trouvé, mais de différents mécanismes semblent jouer un rôle dans son développement, y inclus le stress oxydatif.
Café, caféine et la SLA
Les scientifiques sont d’accord que la SLA est une maladie multifactorielle qui s’accompagne d’un inter-jeu complexe entre une prédisposition génétique et des facteurs environnementaux. Un facteur environnemental est la diète. Avec le stress oxydatif (qui endommage les cellules) un souci commun dans la pathologie de la SLA, il faut la peine d’examiner quel rôle les antioxydants (qui remisent des bénéfices aux cellules) puissent jouer.
Des antioxydants (les vitamines et nutriments qui protègent les cellules de dommage) sont trouvés dans des boissons et de la nourriture habituellement consommés. Le café en particulier a reçu de l’attention comme un antioxydant de diète potentiel. Ca vaut la peine de noter que le café a sensiblement plus de capacités antioxydants que le cacao, et les thés verts, noirs ou herbeux. Néanmoins, le café contient de différents components, la plupart desquels sont la caféine et l’acide chlorogénique, n polyphénole de diète qui est bénéficiaire pour le système immun.
Des études précédentes ont démontré des effets positifs avec le café, la caféine, ou des suppléments acides chlorogénique dans l’amélioration de stress oxydatif et les mécanismes de morte cellules associés.
Une nouvelle étude
Une nouvelle étude étudie le rôle d’intervention de diète avec le focus sur un antioxydant populaire dans le monde de diètes – le café. Les scientifiques ont examiné l’effet de café, caféine et suppléments d’acide chlorogéniques sur les marqueurs de stress oxydatif, de contenu protéine enzyme antioxydant et morte cellulaire dans des modèles souris masculins, et féminines de la SLA.
L’étude, qui s’appelle ‘Caféine réduit la performance moteur et la capacité enzyme antioxydant dans le cerveau de souris féminines G93A, un modèle animal de la Sclérose Latérale Amyotrophique (SLA) était conduit par Rajini Seevaratnam1 sous la supervision de Mazen J. Hamadeh1,2 , et coécrit par Sandeep Raha2 et Mark A. Tarnopolsky2 (1School of Kinesiology and Health Science, York University, Toronto, ON, Canada; 2Department of Pediatrics and Medicine, McMaster University Hamilton, ON, Canada). Les scientifiques présenteront leurs résultats dans la 122ième réunion annuelle du American Physiological Society (APS; www.the-aps.org/press), qui fait partie de la conférence scientifique Experimental Biology 2009. La réunion sera organisé le 18-22 avril, 2009 à New Orleans.
Dessin d’étude
51 souris G93A étaient arbitrairement divisé en 8 groupes: contrôle (6 masculins, 8 féminines), café (5 masculins, 7 féminines), caféine (5 masculins, 8 féminines), acide chlorogénique (5 masculins, 7 féminines). Les groupes de contrôle étaient nourries une diète rodent standard et n’ont pas reçu des suppléments additionnels. Les groupes d’intervention étaient fournies de café, caféine, et des extraits d’acide chlorogénique, respectivement dans des quantités trouvées dans 5-10 tasses de café par jour, contrôlé pour le poids de corps.
Mesures cliniques : prise de nourriture, poids de corps, condition de corps, aptitude à bouger, score clinique, et performance moteur étaient tous estimés pour l’effet de la diète et le temps avant le sacrifice animal.
Mesures moléculaires: marqueurs de stress oxydatif (4-HNE; 3-NY), contenu protéine enzyme antioxydant (MnSOD; CAT; GPx1; GR; GPx1 au ratio GR), et morte cellulaire (Bax; Bcl-2) étaient analysés en utilisant les cerveaux de ces souris à l’âge de 108 jours.
Analyse statistique était conduite pour des masculins et des féminins apparts.
A la fin de l’étude, les scientifiques ont trouvé que :
Dans les masculins:
* Café: augmentait la prise de nourriture avec 21%, diminuait les marqueurs de stress oxydatif avec 39-65%, augmentait les marqueurs de contenu protéine enzyme antioxydant avec 46-139%, et diminuait les marqueurs de morte cellulaire avec 34-36%.
* Caféine: augmentait la prise de nourriture avec 22%, diminuait les marqueurs de stress oxydatif avec 45-81%, augmentait les marqueurs du contenu protéine enzyme antioxydant avec 21-99%, et diminuait les marqueurs de morte cellulaire avec 17-22%.
* Acide chlorogénique: augmentait la prise de nourriture avec 12%, diminuait les marqueurs de stress oxydatif avec 25-35%, augmentait les marqueurs de protéines enzymes antioxydant avec 23-44%, et diminuait la morte cellulaire avec 41-44%.
Dans des féminines.
* Café: augmentait la prise de nourriture par 30%, diminuait les marqueurs de stress oxydatif par 64%, mais n’augmentait pas les marqueurs d’enzymes antioxydants ou ne diminuait pas les marqueurs de morte cellulaire.
* caféine: augmentait la prise de nourriture avec 28%, diminuait la performance moteur par 20%, diminuait les marqueurs de stress oxydatif par 58%, diminuait les marqueurs de contenu protéine enzyme antioxydant par 11-48%, et augmentait la morte cellulaire par 23-74%
* Acide chlorogénique : augmentait les marqueurs de stress oxydatif par 178%, avait des effets équivoques sur les marqueurs de contenu protéine enzyme antioxydant, et diminuait la morte cellulaire avec 33-39%.
Conclusion
Selon Ms. Seevaratnam, “Si nous extrapoleront les résultats vers des patients humains avec la SLA, le café semble alors être bénéficial pour des hommes, tous les deux réduisant le stress oxydatif et la morte cellulaire, et augmentant les antioxydants. Mais pour les femmes, la caféine semble être nocive. Des femmes avec la maladie, vont mieux limiter leurs consommation de caféine, ou bien changer à des produits décaféinés qui contiennent les antioxydants, mais avec peu de caféine. ”
Traduction: Joke Mulleners
Source: ALS Independence