Cellules propres du patient produits en masse pour la première fois dans laboratoire.

03-11-2008

Les nerfs d’un patient avec une maladie fatale dégénérative ont été cultivés pour la première fois dans un laboratoire, ainsi marquant un autre pas en avant vers la médication personnalisée régénérative.

Le travail par une équipe Américaine marque la première fois que des cellules souches spécifique de maladie ont était crées d’un patient.

Ca marque une preuve de principe qu’un Japonais avait développé un alternatif pour clonage d’embryons est capable à pousser le tissue propre d’un patient, en convertissant des cellules de peau adultes dans un état embryonnaire.

Dans ce cas, les cellules embryonnaires crées de deux patients âgés avec une maladie neurones moteurs, de laquelle on croit a affecté aussi Prof. Stephen Hawking parmi d’autres, étaient changées dans des cellules nerveuses pour que des nouvelles visions puissent être obtenues dans la cause de la dégénération de leurs nerfs. Les cellules peuvent aussi être utilisés pour des testes de médicaments.

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Dans le longue terme, la nouvelle méthode pourrait être appliqué pour grandir les propres cellules et les tissues d’un patient, qui, si la cause sous-entendue est corrigé dans ces cellules, pourraient être utilisé pour créer des cellules à mesure pour traiter des maladies dégénérasses.

La recherche est publiée dans le journal Science par une équipe sous la direction de Prof Kevin Eggan du Harvard Stem Cell Institute, Cambridge, Massachusetts.

C’est la première fois que des cellules de peau d’un patient chroniquement malade ont été reprogrammées dans un état ressemblant les cellules souches, et après chipé dans les types de cellules spécifiques qui seraient nécessaires pour comprendre et tester des traitements pour la maladie, une forme de maladie neurones moteurs qui s’appelle la SLA, généralement connu comme la maladie de Lou Gehrig.

 

"Personne n’a jamais succédé à isoler ces neurones d’un patient de les cultiver dans un plat, " a dit Prof Eggan. "Maintenant nous pouvons faire des provisions non-limitées des cellules qui meurent dans cette maladie horrible.”

"C’est une découverte séminale,” a dit Valerie Estess, directeur de recherché pour Project ALS, une organisation non profit dévouée au combat contre la maladie. ‘L’aptitude de dériver des neurones moteurs SLA par une simple biopsie de peau ouvre des portes pour améliorer la découverte de médicaments.

"Pour la première fois, les scientifiques seraient capables à regarder à des cellules SLA sous un microscope, et à voir pourquoi elles meurent. Si nous pouvons estimer comment les neurones moteurs d’une personne meurent, nous estimerons comment sauver les neurones moteurs. "

 

Dans ce cas, les patients, un 89 et l’autre 92, avaient une forme gentille liée à un changement génétique particulier. Le changement, qui était présent dans les versions cultivées dans le labo, cause la dégénération et la morte des neurones moteurs, les cellules nerveuses qui envoient des impulses nerveuses de la moelle épinière à chacun des muscles du corps.

La morte des neurones moteurs mène à la paralyse de ces muscles, y inclus ceux qui sont concernés dans l’engloutissement et la respiration, et mène finalement à la morte du patient.

"Jusqu’à présent, c’était impossible de gagner accès aux neurones affectées par la maladie et, bien que tout le monde était encouragé par le potentiel de la nouvelle technologie, c’était incertain que nous serions apte à les obtenir des cellules de peau des patients, " a dit co-auteur Prof Chris Henderson, co-directeur du Centre for Motor Neuron Biology and Disease au Columbia University, New York.

"Notre rapport démontre maintenant que nous pouvons générer des centaines ou des millions des neurones moteurs qui sont génétiquement identique aux propres neurones du patient. Ca serait un aide immense vu que nous essayons d’exposer les mécanismes derrière cette maladie et observent des médicaments qui pourraient prolonger la vie. "

Les neurones moteurs étaient crées en utilisant une nouvelle technique qui reprogramme les cellules de peau adultes dans des cellules qui ressemblent les cellules souches embryonnaires. La technique utilisée pour créer ces cellules – qui s’appelle - induced pluripotent stem (iPS) cellules – était un avance majeur dans la région qui a été rapporté pour la première fois en 2006 par Prof Shinya Yamanaka du Kyoto University.

La méthode Yamanaka semblait assez prometteur que le scientifique qui menait l’équipe qui avait crée le mouton Dolly par clonage, Sir Ian Wilmut, a annoncé l’année passée qu’il l’utilisera au lieu de la méthode Dolly, aussi dans des études de maladies neurones moteurs.

La méthode Yamanaka offre des avantages parce que le clonage exige l’emploi des œufs humains, qui sont en approvisionnements petites, et la création des embryons humains, qui est furieusement opposé par les groupes pro vie.

Sir Ian a commenté: "Dans leur hâte de penser à utiliser des cellules pour thérapie, beaucoup de gens semblent s’échapper de la valeur énorme des nouvelles opportunités pour utiliser ces cellules pour étudier des maladies héritées. Des cellules qui sont d’une personne qui a hérité une maladie, auront les caractéristiques de la maladie.

"Pour découvrir les changements qui ont mené aux symptômes de la maladie, une comparaison pourrait être fait entre les cellules des patients et celles d’une personne saine. Dans ce cas avec la SLA, les auteurs ont commencé du travail pour produire les nerfs qui sont affectés dans la maladie – les neurones moteurs qui donnent à la maladie son autre nom.

"Ceci est la première fois qu’on a achevé ceci, est c’est un pas intéressant en avant. L’objectif initial était d’utiliser ces cellules dans des testes laboratoires pour identifier des nouveaux médicaments qui sont capables à prévenir les symptômes de la maladie.

"Bien que ceci offre de nouvelle espoir, on devrait noter que ça prendrait des différentes années, peut-être 10 années, avant que le médicament serait disponible.

"Les auteurs ont choisi d’étudier la SLA, mais d’autres groupes sont en train d’adopter la même approche pour étudier d’autres maladies héritées, comme la maladie de Parkinson, la schizophrénie, et des causes de faillite de cœur soudain. En général c’est vraisemblable que ceci serait un des emplois les plus importants de cellules souches dans les prochaines 10 à 20 années. "

Le travail est un pas majeurs vers la confiance des scientifiques que la recherché des cellules souches facilitera éventuellement de traiter des patients qui souffrent des maladies chroniques avec des traitements bases sur cellules souches, créées de leurs propres cellules.

Mais l’emploi de cette méthode pour grandir des cellules de remplacement est encore plus loin. Il y a des problèmes de sécurité avec les cellules iPS, y inclus un risque de cancre, parce que la méthode à présent utilisée pour les créer (des alternatives sont en développement) se fondent sur un virus pour introduire 4 gènes pour reprogrammer les cellules. Les docteurs doivent aussi trouver une route pour réintroduire des cellules saines dans un adulte malade dans une telle façon qui serait favorable.

 

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence

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