Le premier gen 'neuroprotectif'

16-06-2009

Scientifiques UMMS isolent premier gène ‘neuroprotecteur’ dans des patients avec la sclérose latérale amyotrophique

Variant génétique associé avec une augmente dans la survie par 14 mois

Un variant génétique qui a substantiellement amélioré la survie des individuels avec la sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi connue comme la maladie de Lou Gehrig, a été identifié par un consortium de scientifiques sous la direction de John Landers, PhD, Professeur Associât de la Neurologie et Robert Brown, MD, Dphil, Chair et Professeur de la Neurologie à l’Université de Massachusetts Medical School. La découverte du variant du gène KIFAP3 est rapportée dans le Proceedings du National Academy of Sciences. “Ce rapport est le premier de décrire les facteurs génétiques qui détermines le rate de progression dans la SLA." a dit Brown. "Le résultat reflète une collaboration vraiment international dans laquelle des médecins et des scientifiques de presque 20 équipes dans des différents pays ont collaboré pour utiliser des nouvelles méthodes dans les génétiques pour comprendre la SLA."

La SLA est une maladie progressive, neurodégénérative qui affecte les neurones moteurs dans le système nerveux central. Quand les neurones moteurs meurent, l’aptitude du cerveau d’envoyer des signaux aux muscles du corps est compromise. Ceci mène à la perte de mouvement musculaire volontaire, la paralyse, et éventuellement la morte à cause du défaut respiratoire. En 1993, une équipe de scientifiques sous la direction de Dr. Brown, avait découverte le premier gène lié à la SLA familial, une protéine antioxydant connue comme la super oxyde dismutase, ou SOD1. Plus tôt cette année, Dr. Brown et ses collègues ont découvert une mutation dans le gène FUS/TLS qui est estimé de compter pour 5 pourcent des cas SLA héréditaire. Il n’y a que 4 gènes connus, qui quand mutés, causent la SLA familiale. Le variant gène KIFAP3 est le premier d’être lié au rate de la progression dans la SLA.

Pour isoler le variant gène KIFAP3, un consortium de scientifiques des Etats-Unis, le Mexique, l’Israël et l’Europe, ont examiné plus de 300.000 variant génétiques dans plus de 1.800 gens avec la SLA et presque 2.200 contrôles non-affectés. L’approche est basée sur l’assomption que des variations qui se présentent naturellement puissent influencer tous les deux la susceptibilité de la maladie et la façon que la maladie vit son cours dès commencé. Pendant son recherche, le consortium a détecté un variant bénéficiaire du gène KIFAP3 qui était associé avec une augmente dans le temps de survie avec 40 ou 50 pourcent. Parce que la survie avec la SLA est normalement entre les 3 à 5 ans, les patients avec le gène KIFAP3 variant sentent une amélioration substantielle. En effet, l’impact de ce variant génétique est comparable à l’effet du seul médicament (Riluzole) maintenant approuvé pour emploi dans les Etats-Unis. Plus important, ce variant génétiques puisse potentiellement mener la route vers des efforts de développement de médicaments futurs.

Bien que ce n’est pas encore clair comment le variant gène KIFAP3 change la progression de la SLA, les scientifiques savent que c’est concerné avec un nombre de processus cellulaires, y inclus le transport des molécules essentielles à travers la cellule nerveuse.

"Le variant gène favorable diminue les niveaux du complexe protéine moteur dans les nerfs,’ a dit Landers. ‘Ce complexe transporte des substances à travers des différents parties des cellules nerveuses. Si nous pouvons comprendre la base biologique pour l’effet bénéficiaire dans la SLA, ça nous fournira potentiellement un objectif pour le développement des nouveaux traitements SLA.’

Ammar Al-Chalabi, PhD, auteur co-sénior auteur de l’étude et Professeur de Neurologie et génétiques de maladie complexe au King's College, London a ajouté, ‘Traitements puissent maintenant être directement dessiné pour exploiter l’effet de cette variation gène."

Traduire: Joke Mulleners

Source: ALS Independence 

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