Projet ALSA: développement modèle poisson
13-10-2005
L’ALSA continue le projet pour développer un modèle poisson de SLA
Roberta Friedman, coordinateur d’information division de recherche ALSA
Aujourd’hui l’association SLA (ALSA) a annoncé un financement complémentaire pour continuer à développer un sujet d'expérience modelant SLA et qui gagne de la popularité chez les neurobiologistes, c.à.d. le poisson zèbre.
Les Professeurs Christine Beattie et Anthony Burghes de l’université de Ohio State à Columbus, ont déjà commencé au développement d’un poisson zèbre transgénique qui peut servir comme système modèle dans les recherches à SLA. Un financement complémentaire pour les 2 prochains ans, devrait permettre à l'équipe de produire et caractériser une série de poissons qui reflétant les symptômes de SLA pour mieux comprendre le processus de la maladie et développer des nouveaux traitements.
Le Professeur Lucie Bruijn, directeur scientifique d’ALSA, était ravi de la création d’un nouveau système modèle dans les études pour SLA. Le développement d’un modèle poisson zèbre sera un moyen inestimable pour identifier des nouveaux objectifs et examiner des compositions potentielles pour le traitement de SLA.
Les chercheurs et leurs collaborateurs sont en bonne voie dans la création de différents mutants poisson, ou chacun a un code gène introducteur, changeant pour SOD1. C’est le gène qui est modifié pour imiter certaines formes héréditaires de SLA chez les gens. Beaucoup de changements différents dans SOD1 peuvent causer la maladie. Les scientifiques examineront les conséquences de 3 mutations SOD1 séparées dans les poissons.
Des poissons zèbre sont de plus en plus populaires chez les biologistes de développement et les neurobiologistes, vu que cette sorte est facile à manipuler génétiquement, le corps vertébré fondamental est présent et que les larves sont transparentes. On peut littéralement voir comment le centre nerveux et les organes internes se développent chez les poissons.
Les chercheurs veulent voir si les poissons modifiés auront des problèmes quand il nagent ou si leur durée de vie est raccourcie, comme c’est le cas chez les gens avec SLA héréditaire. Ils ont développé des tests laboratoire pour permettre ces recherches. Le financement a fourni les moyens nécessaires pour examiner scrupuleusement les liens entre le nerf et le muscle dans le système neuromusculaire relativement simple des poissons, et pour voir si les perturbations sont causées par la mutation SOD1. Bref, un nouveau moyen important sera développé avec le support financier d’ALSA, dans leur approche efficace pour trouver des solutions pour cette maladie.
Source: www.alsa.org