Analyse de sang prédit le risque de dégénérescence lobaire fronto-temporale

30-03-2009

Analyse de sang prédit le risque de dégénérescence lobaire fronto-temporale

Anvers – Des scientifiques de VIB lies à l’Institut Born-Bunge et l’Université d’Anvers, ont découvert que la quantité du facteur de croissance progranuline dans le sang, est un visionnaire de la dégénérescence lobaire fronto-temporale (DLFT). Progranuline joue un rôle important dans la survie des cellules de cerveau. Des gens qui produisent moins de progranuline, ont un risque élevé sur la DLFT. Les scientifiques ont développé un teste pour mesurer la quantité de progranuline dans le sang, pour alors prédire le risque de quelqu’un. Ceci offre des perspectives pour une détection tôt.

Dégénérescence lobaire fronto-temporale

La dégénérescence lobaire fronto-temporale (DLFT), touche des gens à un très jeune âge. DLFT se présente, après la maladie d’Alzheimer, le plus dans des patients plus jeunes que 65 ans. Dans la DLFT, le processus de la maladie commence dans le lobe frontal où des grandes quantités de cellules de cerveau sont perdues. Le lobe frontale est la partie antérieure du cerveau et fait partie d’environ 30% du cerveau. Il est entre autre concerné dans la régulation du comportement, du mouvement et de l’esprit, et est responsable pour les fonctions cognitives comme la langue. Les premiers signes cliniques de la DLFT dans des patients sont alors des changements dans le comportement et la personnalité, avec dans un stade plus tard de la maladie, la perte de fonctions de mémoire.

Progranuline: un personnage principal

De la recherche génétique a démontré avant, que dans une grande partie des familles avec DLFT, il y une faute génétique sur le chromosome 17. Sur le chromosome 17 il y deux gènes qui, quand une faute se présente là, causent une forme héréditaire de la DLFT. En 1998 on a trouvé des fautes dans le gène de la protéine-tau, une substance qui se présente dans les grumeaux de protéines dans les cerveaux de patients DLFT et Alzheimer. En 2006 l’équipe de Christine Van Broeckhoven a découvert des fautes génétiques dans le gène pour la protéine progranuline. Ils ont prédit que des gens avec ces fautes héréditaires ne créent que la moitié de progranuline.

Ceci a été confirmé par l’équipe de Christine Van Broeckhoven, ils ont démontré qu’un manque de cette substance de croissance mène à la morte des cellules cerveaux dans le lobe frontal et cause de cette façon la DLFT. Des nouveaux résultats indiquent que la progranuline joue aussi un rôle dans la morte de cellules de cerveau dans des autres maladies de cerveau, comme la démence d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (SLA).

Testes prédisant

A base de leurs recherche, Kristel Sleegers de l’équipe de Van Broeckhoven a développé un teste de sang qui peut mesurer d’une façon très simple la quantité de progranuline. Avec ce teste on peut, long avant que les symptômes se manifestent, déterminer si quelqu’un a un risque élevé de la DLFT à cause d’un manque de progranuline. La teste de sang est utilisable sur grande échelle et est plus simple et plus ergonomique que les testes génétiques à présent. Cette découverte offre alors une vision sur une détection tôt de DLFT qui est causé par un manque de progranuline.

Pour un médicament contre la DLFT c’est pourtant trop tôt. Pour cela il faut plus de recherche scientifique pour déterminer comment le manque de progranuline puisse être compensé.

Traduction: Joke Mulleners

Source: Medinews

Share