Fumer peut maintenant etre considere comme un facteur a risque pour la SLA

15-01-2010

Alors que d’études préalables ont indiqués une relation probable entre fumer et SLA, une nouvelle étude publiée le 17 novembre 2009 émanant de Neurology, le journal médical de l’Académie Américaine en Neurologie, déclare que fumer peut être considéré maintenant comme un facteur à risque établi pour la Sclérose Amyotrophique Latérale (SLA).

Les recherches proviennent du Centre Médical Baystate par le neurologue Dr. Carmel Armon, un rechercheur SLA et un neuro-épidemiologiste, qui en utilisant des méthodes basées sur l’évidence afin d’arriver à une analyse rigoureuse d’études examinant le lien entre fumer et le développement SLA—une maladie neuro-dégénérative fatale qui affecte les nerfs moteurs et les muscles volontaires.

“L’application de méthodes basées sur l’évidence sépare les études mieux dessinées des études aux limitations qui ne sont point reliées. Les études mieux dessinées démontrent que fumer augmente le risque de développement SLA, avec certaines trouvailles que fumer peut être impliqué directement dans la cause de la maladie,” dit le Dr. Armon, un professeur de neurologie à l’université de médicine Tufts et le chef du service neurologie au Centre Médical Baystate à Springfield.

D’après le Dr. Armon, reconnaître comme un risque établi pour le SLA a trois implications.

« Tout d’abord et en premier lieu les recherches fournissent un lien entre l’environnement et le SLA qui survient, là où personne ne l’avait pas identifié avec autemps de certitude, » disais le Dr. Armon.

« Des implications supplémentaires sont que depuis fumer n’a pas de qualités qui rachètes, éviter de fumer peut réduire l’apparence de SLA dans le futur. Et depuis que certains mécanismes par lesquels fumer cause d’autres maladies chez les humains sont compris assez bien, reconnaître son rôle dans l’apparence de SLA peut aider de trouver le processus biologique qui démarre la maladie, » ajoutait le rechercheur.

Le neurologue du Centre Médical Baystate notait que se pointer sur le processus de départ du SLA sporadique, et proche de cela, peut apporter de nouvelles pistes de traitement afin d’arrêter la progression.

« Ceci a été réalisé dans certains modèles animalier de la famille SLA, mais pas chez les humains. L’espoir que ces concepts peuvent être appliqués pour la maladie sporadique et changer les perspectives pour le futur est soutenue par le lien avec fumer pour l’ALS, » concluait le Dr. Armon.

La moité de ceux atteint par SLA meurent endéans les trois ans d’attaque de faiblesse, avec moins de cinq pourcent qui survivent 10 ans. 90-95 pourcent des cas apparaissent par hasard (cas sporadiques), avec 5-10 pourcent des cas ayant un cas dans la famille (cas familial).

Un gène changé, dont un tas ont été identifié, est impliqué dans la cause du SLA familial. Prioritaire à ce rapport, aucun des facteurs externes a été impliqué avec ce degré de confiance à l’attribution du SLA sporadique.

 

Traduire: Heidi Casier

Source: ALS Independence

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