La preuve que la maladie de l’aspartame est en fait la maladie de la guerre du Golfe, celle de la SLA

10-01-2012

Mise à jour: 16 juin 2011

Vous savez probablement qu’un article au sujet du syndrome de la Guerre du Golfe et de la SLA a été publié dans le numéro de Septembre de la revue Neurology. Plusieurs articles ont déjà été publiés au sujet de ces deux études.

Bob Mackle, Directeur de Public Information (Le journal de la MDA) déclarait le 10 Mars 2003:

« la SLA, également appelée maladie de la SLA, attaque les cellules nerveuses contrôlant les muscles, appelées motoneurones. Cette maladie entraîne la dégénérescence des muscles connectés aux motoneurones. Il n’existe pas de traitement et beaucoup de personnes atteintes de la maladie succombent, dans les trois à cinq ans suivant le diagnostic, d’un arrêt respiratoire. Une nouvelle étude publiée sur internet par Nature Genetics démontre que des anomalies génétiques affectant les liaisons entre les motoneurones peuvent entraîner l’apparition d’une affection semblable à la SLA. »

Quel est donc l’effet de l’aspartate (une excitotoxine de l’aspartame)? Sur la couverture arrière du livre du Dr Blaylock se trouve la définition du terme excitotoxine: « Une substance ajoutée à la nourriture et aux boissons qui stimule littéralement les neurones à mourir, causant des dégâts de différents degrés, dans le cerveau. On peut la trouver dans des ingrédients tels que le glutamate monosodique, l’aspartame (Nutrasweet), la cystéine, les protéines hydrolysées et l’acide aspartique. » (Excitotoxines: Le Goût Qui Tue)

Un neurone est une cellule nerveuse, l’unité structurelle et fonctionnelle du système nerveux. Il se compose d'un corps cellulaire et de ses processus, un axone, et une ou plusieurs dendrites. Les neurones fonctionnent par l’initiation et la conduction d’impulsions.

Nous nous intéressons ici aux motoneurones. Il en existe des supérieurs et des inférieurs. Dans les neurones supérieurs, le corps cellulaire se trouve dans les aires motrices du cortex cérébral. L’axone descend par la moelle épinière et se connecte de cette manière avec les neurones moteurs inférieurs.

Nous savons que l’aspartame endommage l’ADN et nous savons également qu’il détruit des neurones. Dr. James Bowen l’a expliqué de manière simple afin que ce soit compréhensible. Il disait: « L’acide aspartique, le composant excitotoxique de l’aspartame, ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, mais est déversé dans le liquide cérébro-spinal par le plexus choroïde, situé dans les ventricules cérébraux. C’est là, dans l’extrémité inférieure du cerveau et la partie supérieure de la colonne vertébrale, que les dommages sont de la SLA, de la maladie de Parkinson et de la Sclérose en plaques sont les plus importants. Ces endroits critiques sont baignés par les toxines éliminées du sang. Du troisième ou quatrième ventricule part un canal étroit appelé aqueduc de Sylvius, qui se remplit de ces sécrétions et baigne le sommet de l’hypothalamus. »

Dans l’article de Mackle, il discute une étude de 1999 et mentionne que les troubles du transport axonal, peut-être causés par des toxines, pourraient déclencher la SLA sporadique. L’aspartate et le glutamate pourraient être ces toxines. La MDA est une agence de santé indépendante, qui étudie plus de 40 maladies neuromusculaires par le biais d’un programme de recherche mondial.

Un autre article récent de Bob Mackle est intitulé: Deux études démontrent que les vétérans de la Guerre du Golfe un risque de SLA deux fois plus élevé:

« Deux nouvelles études publiées dans le journal Neurology, une financée sur fonds privés et l’autre subsidiée par les autorités fédérales, rapportent une incidence de sclérose latérale amyotrophique parmi les vétérans déployés lors de la Guerre du Golfe persique, supérieure à la moyenne. » (édition du 23 septembre)

« Une étude, financée sur fonds privés, réalisée par Robert W. Haley du Centre médical du sud-ouest du Texas à Dallas, et une étude subsidiée par le gouvernement et réalisée par Ronnie D. Horner de l’Institut national des troubles neurologiques et des attaques cérébrales de Bethesa, Maryland, mettent toutes deux en évidence chez les vétérans US qui ont été actifs et déployés dans le Golfe persique entre le 2 août 1990 et le 31 juillet 1991, un risque deux fois plus élevé de développer la SLA par rapport aux militaire US qui n’ont pas été actifs dans le conflit. »

« Avec les troupes déployées qui développaient la SLA de manière plus fréquente et, ce qui est peut-être même plus important, beaucoup plus tôt dans leur vie que c’était le cas pour la moyenne, les deux études soulèvent la question de l’existence d’un facteur environnemental qui pourrait avoir provoqué une déclenchement précoce de la maladie. »

Il faut garder une chose à l’esprit: l’aspartame n’a rien à voir avec l’âge ni avec la géographie. Dans le Golfe persique, les troupes consommaient beaucoup d’aliments de régime qui étaient exposés à un soleil arabe de 120°F (49°C) pendant des périodes allant jusqu’à 8 semaines, d’après les vétérans que j’ai interviewés personnellement à Huntsville, Alabama.

TimeLife a publié un article sur les troubles bipolaires, bien connus pour être provoqués par l’aspartame causant la réduction de sérotonine. Mais cet article est intéressant car il concerne une maladie d’adultes, et cependant les enfants développent également des troubles bipolaires. (40% des enfants aux USA utilisent de l’aspartame).

Michael Fox voulait savoir pourquoi il avait développé la maladie de Parkinson, une maladie de personnes âgées, alors qu’il n’avait que 30 ans lorsqu’il en a été atteint. Il était un porte-parole de Pepsi Light et était lui-même accro à ce produit. L’Association Alzheimer dit que 50% des lits de maison de repos sont occupés par patients Alzheimer, en ce y compris les baby boomers adultes.

Une infirmière de maison de repos racontait qu’ils accueillaient des patients âgés de 30 ans, atteints d’Alzheimer, et l’utilisation d’aspartame mène à une vraie escalade de cette maladie (Defense Against Alzheimers Disease, H. J. Roberts, M.D.)

Il en est également ainsi avec la SLA, poursuit Mackle: « en plus d’une incidence plus élevée de SLA parmi les vétérans de la guerre du Golfe, les études démontrent toutes deux une apparition de SLA plus élevée que la moyenne, chez les individus de 20 et 30 ans. La SLA se déclarant habituellement dans la cinquantaine, ces études laissent entendre la possibilité de l’existance d’un agent environnemental déclenchant prématurément la SLA. »

Quel agent environnemental déclenche-t-il la SLA de manière prématurée? L’aspartame! Depuis combien temps sait-on que l’aspartame déclenche la SLA? Il y a 19 ans, le Dr. Brown écrivait à la FDA: « L’acide aspartique est un neuro-excitotoxique présent de manière légale en quantités nocives, d’après les DJA (doses journalières admissibles) pour l’aspartame.

La simple logique nous permet de comprendre que cela va grandement augmenter la métabolisation de l’acool méthylique en formaldéhyde. Ceci correspond bien à la symptomatologie souvent constatée dans la SLA, la paralysie bulbaire et les affections neurohormonales. Le problème des dioxopipérazines reste entier et dangereux. »

Le neurochirurgien Russel Blayblock, M.D., a écrit Excitotoxines: Le Goût qui Tue, concernant de maladies déclenchées par des excitotoxines comme le glutamate monosodique et l’acide aspartique. Il cite Dr. John Olney pour décrire l’ironie d’une pratique de l’industrie alimentaire:

« Nous sommes ainsi aujourd’hui témoins d’une situation ironique: alors que de savants neurologues essaient ardemment de développer des méthodes pour protéger les neurones du système nerveux central (CNS) contre le caractère potentiellement neurotoxique du glutamate et de l’aspartate endogènes, d’autres membres de la société sont en train de promouvoir énergiquement l’usage illimité du glutamate et de l’aspartame exogènes en tant qu’additifs alimentaires.

« Aujourd’hui les preuves expérimentales démontrant le potentiel neurotoxique de ces excitotoxines sont si nombreuses, comme le prouvent les citations scientifiques dans ce livre, qu’on ne peut plus les ignorer. »

Dr. Blaylock explique comment fonctionnent les excitotoxines. « Les études démontrant la manière dont fonctionnent les excitotoxines ont grandement amélioré notre compréhension, non seulement du fonctionnement du cerveau, mais également des bases du processus de la maladie cérébrale dégénérative elle-même. Dans cette discussion vous devez garder à l’esprit que les excitotoxines ajoutées à la nourriture sont exactement les mêmes que celles qui provoquent les lésions cérébrales relevées sur les animaux lors des expérimentations. Et le glutamate dans notre discussion est la même substance et ingrédient actif que celui trouvé dans le glutamate monosodique (GMS). La neurotoxine aspartate est un composant important de l’édulcorant artificiel aspartame (en fait un mélange de deux acides aminés, de phénylalanine et d’aspartate avec du méthanol ou alcool méthylique) ».

Il poursuit: « le glutamate et l’aspartame peuvent tous deux rendre les neurones extrêmement excités et, dispensé en quantités suffisamment importantes, ils peuvent provoquer la dégénérescence et la mort de ces cellules. »

Il y a un chapitre dans ce livre intitulé La Mort Rampante: Les Maladies Neurodégénératives. Voici quelques explications à ce sujet.

« En ingérant des régimes riches en GMS, protéines végétales hydrolysées, aspartame et autres excitotoxines, les individus exposeraient leur cerveau à des quantités nocives de cette classe de toxines. D’autres neurones pourraient être endommagés, entraînant probablement l’apparition de symptômes du type maladie d’Alzheimer et Sclérose latérale amyotrophique. »

Rappelez-vous de ce que disait Dr. Bowen au sujet de l’acide aspartique s’infiltrant dans le cerveau. Voyez l’avis du Dr. Blaylock à ce sujet: « il est également possible que le glutamate et l’aspartate puisse s’introduire dans le cerveau sans être décomposés par la barrière hémato-encéphalique. Nous savons que certaines aires du cerveau adulte ne possèdent pas de barrière ou possèdent des barrières inefficaces. Ces aires se situent près du système ventriculaire (organes circumventriculaires) et peuvent potentiellement constituer les points par lesquels le glutamate et l’aspartate du plasma ont pu lentement s’infiltrer dans le cerveau, contournant ainsi la barrière hémato-encéphalique. »

En page 118, Dr Blaylock explique la Sclérose Latérale Amyotrophique: « La sclérose latérale amyotrophique est une affection neurodégénérative affectant principalement les cellules de la corne antérieure de la moelle épinière. Ce sont les neurones primaires dans la moelle épinière, qui commandent les mouvements musculaires du corps. Ces neurones ne fonctionnent cependant pas par eux-mêmes, ils sont contrôlés par des neurones situés plus haut, dans le cortex moteur du cerveau, qui envoient des fibres via la moelle épinière, et se connectent (synapses) avec les cellules de la corne antérieure. Cet assemblage de fibres en provenance du cortex est appelé tractus corticospinal. Dans la majorité des cas de SLA, ces neurones sont également affectés. »

Dr Blaylock commente la recherche sur la SLA effectuée en 1987 par les Docteurs Andreas Plaitakis et James T.Caroscio:

« Dans une étude de suivi, Dr. Plaitakis et ses collaborateurs ont examiné les niveaux de glutamate et d’aspartate dans le cortex cérébelleux, le lobe frontal et les deux aires de la moelle épinière de patients décédés des suites de SLA. Ils ont découvert que les niveaux de glutamate avaient considérablement diminué dans toutes les zones testées (21 à 40% plus bas que dans le groupe contrôle). La moelle cervicale et lombaire, les régions qui contiennent le plus grand nombre de motoneurones, présentaient le plus grand déficit. L’aspartate n’avait diminué de manière considérable que dans la moelle épinière (32 à 35%). Ce déficit dans les réserves d’aspartate et de glutamate dans le cerveau et dans la moelle épinière des patients SLA pourrait indiquer que ces neurones spécialisés sont détruits, avec comme conséquence la perte de leur concentration précédemment élevée en ces acides aminés excitateurs. »

Écrivant au sujet de la prévention de la SLA, il dit: « Vous devez également éviter toutes les nourritures et les boissons édulcorées à l’aspartame (NutraSweet), car elles contiennent la puissante excitotoxine aspartate. De plus, tout ce que nous avons appris au sujet de l’hypoglycémie et de la maladie de Parkinson s’applique également aux patients SLA. Un faible niveau d’énergie amplifie l’effet toxique du GMS et de l’aspartate sur moelle épinière. »

Il y a, dans ce livre, beaucoup de commentaires intéressants sur le GMS et l’aspartame :

« Les Placebos sont censés être des substances complètement inertes. Sans cela, elles produiraient un effet physiologique par elles-mêmes et gâcheraient l’expérience. Dans le cas des études toxicologiques au sujet du GMS, le placebo utilisé pour tester l’excitotxine glutamate est le NutraSweet, qui contient l’excitotoxine aspartate. Il a été clairement démontré dans plusieurs études que l’aspartate produit les mêmes réactions destructrices sur le système nerveux que le GMS. Il semblerait évident, même au profane, qu’on ne va pas utiliser une substance de contrôle qui contient la même classe de toxine chimique que la toxine avec laquelle on souhaite la comparer. Mais c’est pourtant exactement ce qui a été fait. »

« Est-ce que les représentants de l’industrie du glutamate sont conscients de ce fait scientifique de base? Il est difficile de croire autrement, particulièrement lorsqu’un de leurs propres représentants a démontré cela lors d’une audition publique pendant une réunion de la Fédération des Sociétés Américaines pour la Biologie Expérimentale au cours de laquelle des tables ont été présentées pour prouver que l'aspartame produit les mêmes réactions que le GMS »

« Ces scientifiques ont-ils révélé dans leurs articles scientifiques le fait que les placebos contenaient également une excitotoxine connue? La réponse est un «non» catégorique, et j’ai passé en revue des dizaines de ces études. En fait, je ne me rendais pas compte de cette duperie jusqu’à ce que j’en reçoive la preuve du Dr. Samuel. Dans beaucoup de cas, la poudre utilisée pour mélanger les placebos était fournie par Comité international technique de l'acide glutamique (ICTG). Il est intéressant de noter que la compagnie Ajinomoto, le principal producteur de GMS et des matières premières de l’aspartame, est un membre actif de l’IGTC. »

« Cette compagnie finance des programmes de recherches étendus et fournit des fonds aux grandes universités pour la recherche sur l’innocuité du GMS. Personnellement, je pense que les représentants des deux compagnies, et certainement les scientifiques en charge de la recherche, doivent savoir que de telles études sont pour le moins malhonnêtes. »

Il est évident que l’aspartame peut causer la SLA. En conclusion, Dr Blaylock dit: « La principale inquiétude à avoir concerne l’effet de ces puissants stimulants des cellules cérébrales sur le cerveau en développement du petit enfant et de l’enfant, et plus tard sur le développement chez l’adulte de maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer, la maladie d’Huntington et la SLA. Non seulement le cerveau utilise les acides aminés excitants comme des neurotransmetteurs normaux, mais il existe un équilibre fragile entre les substances chimiques excitantes et inhibitrices dans le cerveau. La rupture de cet équilibre peut résulter de sérieux troubles du système nerveux.

Au cours de l’étude, il a été constaté que les individus qui utilisaient beaucoup d’aspartame souffraient de trous de mémoire, de fatigue, de douleurs articulaires, d’éruptions cutanées, de maux de tête, d’étourdissements et de cancer, des manifestations auxquelles on ne s’attendrait pas. Ce sont pourtant des problèmes connus provoqués par l’aspartame. Quelle est la différence avec les soldats américains dans le Golfe persique qui ont absorbé de grandes quantités d’aspartame transformé en breuvage de sorcière de toxines? Pourquoi la géographie ferait-elle une différence?

Richard Lieby, écrivait dans le Washington Post du 30 décembre: « Le Pentagone dit qu’il n’a toujours pas de réponse à l’énigme qui occupe les experts depuis plus de dix ans: Qu’est-ce qui a causé tous les… trous de mémoire, fatigues, douleurs articulaires, éruptions cutanées, maux de tête, étourdissements, cancers, la SLA et anomalies congénitales» communément appelé Syndrome de la Guerre du Golfe?

Et pourquoi les experts ne savent-ils pas? Serait-ce parce que les fabricants d’aspartame mentent, la FDA ment et les organisations professionnelles subsidiées par le fabricant, mentent? Dr Blaylock dans son livre signale que le grand public sait si peu de choses à ce sujet. Comprenez-vous pourquoi je dis aux gens qu’il est important qu’ils lisent ces livres sur l’aspartame? Ils doivent savoir cela parce qu’ils ne le découvriront certainement pas en appelant des organisations qui ont vendu leur âme pour trois sous. Les médecins ont payé le prix. Ils ont fait la recherche pour nous, se sont battus pour communiquer l’information au public, puisque comme je l’ai mentionné, il est très difficile de la publier dans des journaux médicaux, ou dans les médias grand public.

A la page 244 de La Maladie de l’Aspartame, Dr Roberts appelle également la SLA : Une Épidémie Ignorée. Il dit que le rôle favorisant de l'aspartame dans la SLA a été suspecté à plusieurs reprises. Cette association est devenue plus évidente lorsque des parents proches ont développé des troubles neurologiques semblables. Il décrit le cas suivant – « Un homme avec un diabète de l’âge mûr utilisait de grandes quantités d’aspartame, spécialement comme édulcorant de table dans ses flocons d’avoine et son café. Il a développé une SLA sévère et fatale. Deux filles ont souffert d’une sévère maladie de l’aspartame, l’une ayant initialement été diagnostiquée comme étant une sclérose en plaque. »

La plupart des vétérans que j’ai interviewés ces dernières années m’ont raconté qu’ils buvaient des boissons light tout au long de la journée. Voici ce que Dr Blaylock dit dans Secrets de Santé et Nutrition pour Sauver Votre Vie…« en utilisant la méthode du traceur radioactif, il a été clairement démontré que le formaldéhyde, formé à partir de l’aspartame, s’accumule près de l’ADN dans les cellules, ce qui résulte en de nombreuses délétions et ruptures de brins dans le matériel nucléaire. La découverte de la nature cumulative de ces dégâts est encore plus effrayantes : cela signifie que boire même un seul Coca Light par jour peut produire des dégâts génétiques considérables. Plusieurs addictions à l’aspartame, sont également relatées, caractérisées par la consommation quotidienne d’un gallon (3,78 litres) ou plus de boissons édulcorées. » Il suffit de boire juste une boisson light par jour !!!!

Dans ce même livre, Dr Blaylock aborde également le sujet de ces boissons light cuisant sous le chaud soleil arabe dans le Golfe persique. Il dit également ceci:« Dans le cas des boissons light dans des canettes en aluminium, le fluorure d’aluminium, très toxique pour le cerveau, coexiste avec plusieurs toxines qu’on retrouve dans l’aspartame, créant ainsi le breuvage le plus toxique possible, approuvé par le gouvernement ».

Au sujet de l’aspartame, il dit: «Cette substance particulièrement néfaste n’aurait jamais dû être approuvée pour l’usage humain. On n’en serait jamais arrivé là si certains décideurs de la FDA n’avaient pas eu envie qu’on parle d’eux. »

Dans l’article du 7 janvier 2003,Menace toxique pour les troupes dans la nouvelle guerre du Golfe (NewsMax.com), Robert McMahon disait des Soldat de la Vérité: « Une 100aine d’heures de combats au sol qui a vu 148 Américains tués et 467 blessés dans la Guerre du Golfe 1 a produit 159,238 vétérans qui reçoivent mensuellement une pension d’invalidité (pour raison médicale). Cela concerne près de 30% de nos forces envoyées dans cette région à cette époque. »

Si ces individus qui ont combattu dans le Golfe persique avaient été avertis à propos de l’aspartame et avaient lu les livres écrits par les experts, beaucoup d’entre eux seraient encore vivants aujourd’hui. Au dernier décompte, 40,000 ont péri.

Rappelez-vous également que l’aspartame est un adjuvant, un stimulateur d’immunité, comme le Squaline dans le vaccin contre l’Anthrax. Dr Russel Blaylock, neurochirurgien, a affirmé que les adjuvants causent toujours les mêmes effets – Sclérose en plaques, lupus, SLA, etc. Les troupes n’avaient pas l’ombre d’une chance! Il est de notoriété publique que l’aspartame provoque ces problèmes et précipite leur développement.

Traduction : Wilgos Charlotte

Source : Dr. Betty Martini, D.Hum.
Founder, Mission Possible World Health International

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