Scientifiques découvrent une cause de SLA

25-02-2008

Scientifiques découvrent une cause de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), maladie de lou gehrig

Des scientifiques à l’Université de Iowa ont fait une découverte qui pourrait avoir un grand impact positif sur des patients avec des maladies neurodégénératives, en particulier la sclérose latérale amyotrophique (SLA), vis-à-vis connu comme la maladie Lou Gehrig.

Ils ont découvert que deux protéines cellulaires signalant, Nox1 et Nox2 semblent jouer une partie très signifiante dans la progression de la SLA héritée.

Quand ils ont supprimé les gènes Nox1 ou Nox2 des souris avec la type héritée de la SLA, la durée de vie de l’animal était considérablement améliorée. Il y avait plus d’effet quand le gène qui était supprimé était Nox2. Celui-ci doublait presque la durée de vie de la souris.

Non seulement ça, mais quand le NOx2 était supprimé, l’index de survie était aussi augmenté. L’index de survie est le temps dès le commencement d’une maladie jusqu’à la morte du patient. C’est la première fois qu’un single gène a été identifié dans l’index de survie des patients SLA.

C’est la fonction des protéines Nox de générer des espèces oxygènes réactives (ROS). Ce sont des molécules qui vivent très courtes, et pourtant largement réactives. Sans ROS, on ne peut pas avoir des fonctions cellulaires normaux, y inclus, la signalisation, mais il faut aussi le nombre exacte de ROS parce que trop peut causer du stress oxydative endommageant. Ce type de stress mène à dommage cellulaire et morte dans les maladies neurologiques.

Les scientifiques ont trouvé qu’il y a une protéine qui s’appelle superoxyde dismutase-1 (SOD1) qui devient mutée dans une forme héritée dominante de la SLA qui réagisse avec certaines structures dans des cellules qui règlent le nombre de ROS qui est produit par les protéines Nox.

Ce résultat était une découverte plaisante et non-attendue. Ils ont fortement suggéré que les protéines Nox sont concernées dans le dommage causé par la SLA et a inspiré l’équipe de continuer et d’examiner ce qui se passerait s’ils supprimeraient les protéines Nox dans des souris qui ont la mutation SOD-1 qui cause la SLA.

Quand ils ont exploré cette possibilité, ils ont trouvé qu’en supprimant les gènes Nox, ils ont succédé à retarder le commencement de la maladie, et à prolonger le cours de survie. Un autre résultat était que même une réduction de 50% dans Nox2 peut retarder le commencement de maladies neurones moteurs, signifiant que même si le médicament travaille seulement partiellement, il y aurait encore un petit effet bénéficiaire.

Des mutations dans SOD-1 sont responsables pour certaines formes de la SLA et résultent dans des réponses inflammatoires hyperactives dans la moelle épinière et le cerveau. Quand les protéines Nox produisent trop de ROS dans ces cellules, ça semble d’être un cause important de destruction cellulaire aussi bien que la perte de neurones moteurs.

La recherche est encore en train de se développer, et l’équipe va maintenant chercher des médicaments avec l’aptitude d’arrêter l’activation de Nox1 et Nox2 aussi bien que regarder à exactement comment la mutation SOD1 contribue à l’hyper activation de protéines Nox.

Le scientifique dirigeant est John Engelhardt, Ph.D. professeur et chef d’anatomie et biologie cellulaire dans le UI Roy J. et Lucille A. Carver College of Medicine et Roy J. Carver Chair in Molecular Medicine. Le reste de l’équipe est Jennifer Marden, Ph.D., et Maged Harraz, Ph.D., qui sont tous les deux des étudiantes graduats dans le laboratoire d’Engelhardt quand l’étude était conduite ;Aislinn Williams; Kathryn Nelson; Meihui Luo; et Henry Paulson, M.D., Ph.D., qui était un professeur associât UI de neurologie pendant l’étude, et est maintenant un professeur de neurologie à l’Université de Michigan.

La recherche était financé partiellement par le Roy J. Carver Charitable Trust of Muscatine et les National Institutes of Health.

 

Traduire: Joke Mulleners

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