Transfert Nucléaire donne de l’espoir pour médicaments SLA

06-06-2007

Stratégie de transfert Nucléaire donne de l’espoir pour la sélection de médicaments pour la SLA

Roberta Friedman, Ph.D., Research Department Information Coordinator

 

Bref résumé : Des scientifiques ont peut-être conçu une nouvelle source de cellule qui permet aux cellules souches de adopter les caractéristiques d’une maladie, une approche prometteur pour la découverte de médicaments pour la SLA

La recherche qui a été rapporté dans Nature cette semaine, suggère une nouvelle façon possible pour taper dans le potentiel de cellules souches pour la découverte de médicaments. Le scientifique de Harvard Kevin Eggan, Ph.D., et ses collègues suggèrent que ca pourrait être possible d’utiliser des cellules primitives fertilisées auparavant pour produire des lignes de cellules souche spécifiques pour la maladie, en utilisant le transfert de cellules somatiques nucléaires, aussi appelées clonage thérapeutique. Cela donne de l’espoir pour des nouvelles approches thérapeutiques pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA, aussi connu comme la maladie de Lou Gehrig).

Des efforts précédents sur la reprogrammation nucléaire ont dépendu des œufs qui ont prouvés d’être difficile à obtenir.

La nouvelle méthode indique que ca pourrait être possible d’utiliser des cellules qui restent de la fertilisation in vitro pour générer des cellules souches qui portent les gènes responsable pour des maladies comme la SLA.

En effet, les scientifiques ont trouvé que ca pourrait être possible d’utiliser des œufs fertilisés qui seraient supprimés normalement dans le cours des efforts de la fertilisation in vitro parce qu’ils portent trop de chromosomes pour se développer normalement.

“Nos résultats fournissent plusieurs avenues non-explorés auparavant et techniquement réalisable, vers la production des lignes de cellules humaines ES ‘génétiquement taillées’ qui ne sont pas limité par les limitations de donation oocyte pour la recherche,” ont écrit les scientifiques dans leurs rapport.

Eggan et ses collègues ont trouvé que, dans des souris – et peut-être dans des gens – les mécanismes cellulaires requis pour la reprogrammation génétique sont encore présent même après un œuf est joint avec le sperme.

Les chromosomes des œufs de souris justement fertilisé peuvent être éloignés et remplacés par des chromosomes d’ou une cellule souche embryonnaire de souris ou par une cellule de peau de souris adultes. Dans les deux cas, la cellule reprogrammé a continué a se séparer convenablement, et pourrait être utilisé pour produire des lignes de cellules souches embryonnaires.

Si ce travail peut être reproduit dans des gens, des noyaux de cellules de peau adultes, pourraient être placé dans des œufs déjà fertilisés avant qu’ils se séparent. Les scientifiques pourraient alors produire des cellules souches qui tiennent la capacité de produire chaque type de cellule. Ceci suggère qu’avec un transfert nucléaire similaire de cellules de peau des patients SLA, des cellules souches embryonnaires pourraient être produit pour étudier cette maladie.

Les scientifiques croient que des tels lignes de cellules souches embryonnaires, pourraient être utiles en étudiant la SLA parce qu’ils seront capable à générer des grandes nombres de neurones moteurs qui sont tués par la SLA. La capacité de produire des grandes nombres de ces neurones moteurs serait utile pour la découverte de médicaments.

Source : www.asla.org

Traduction : Joke Mulleners

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